Rina Akahito

- Nom :Akahito
- Prénom :Rina
- Sexe :F
- Age :23 ans
- Date de Naissance : 14 mars
- Lieu de Naissance :Japon
- Nationalité :Japonaise et Canadienne
- Métier :Infirmière
- Temps qu'Il Reste à Vivre :32 ans






- Description Physique : (5 lignes minimum)Rina est une jeune fille aux trais qui reflètent une certain mélancolie. Ses cheveux sont d’un rose assez pâle et ses yeux sont noirs, même si parfois, on pourrait croire qu’ils sont violacés. Elle attache souvent quelques-un de ses cheveux avec un bandeau noir rayé une ligne rose au centre afin que ceux-ci ne lui tombent pas sur le visage, chose qu’elle déteste. Les gens pensent souvent que ce ne sont que des rubans attachés ensemble, étant donné que la ligne rose est du même teint que ses cheveux. Elle a une taille très fine, car elle n’a pas souvent un grand appétit. Elle porte toujours des vêtements très sombres, souvent du noir, qui démontrent son caractère triste et rêveur. Elle garde toujours avec elle son toutou préféré, un lapin brun en état un peu délabré.
- Description Mentale : (5 lignes minimum)Rina est assez timide et réservée, ce qui fait en sorte qu’elle est peu sociable. Néanmoins, elle est d’une grand loyauté et ses amis, peu nombreux, peuvent compter sur elle et sa discrétion. Elle est aussi très mélancolique et un peu docile. Lorsqu’elle était jeune, il était un jeu d’enfant de la manipuler, ce dont ses parents ont profité, mais depuis, elle tente de corriger ce défaut et d’imposer sa personnalité de personne douce et qui tient aux principes et aux valeurs qui sont importantes à ses yeux, malgré quelques défauts, comme par exemple le fait qu’elle soit parfois un peu trop naïve. Elle est plutôt courageuse, malgré qu’elle n’ose pas toujours suivre ses instincts ou dire ce qu’elle pense réellement. Malgré sa timidité, elle est très romantique et rêve de vivre une belle histoire d’amour digne des contes de fées. Elle est d’un naturel très sentimental, pouvant sauter facilement d’une émotion à une autre. Un rien peut la faire rire ou pleurer, dépendamment du sujet. Elle est également très sensible à la souffrance des autres, une des raisons pour laquelle elle est devenue infirmière.
- Pour Quelle Raison Utilisez-Vous Votre Death Note? : Elle n'a aucune raison de se servir de son Death Note, bien au contraire... d'ailleurs elle ne l'a jamais ouvert...
- Votre Personnalité Death Note : Sentimental
- Votre Shinigami : Khansu
- Histoire : (15 lignes minimum)Rina a toujours vécu au Japon, avec ses parents. Toute jeune, elle vivait non loin de Setsuko, qu’elle rencontra un jour et qui se lia d’amitié envers elle. Tous deux étaient très proches, mais le cruel destin les sépara un jour. Sa famille devait déménager dans un autre pays, très loin de leur pays d’origine, car le père de Rina avait eu une offre d’emploi qu’il ne pouvait refuser : le Canada! Rina eut le cœur brisé en apprenant la nouvelle, mais encore plus lorsque son ami ne vint même pas lui dire au revoir le jour de son départ. Là-bas, elle du apprendre l’anglais et le français. Elle ne réussit jamais à se lier d’amitié avec qui que ce soit en particulier et regrettait beaucoup son ancien chez soi. L’espoir d’y retourner l’avait quittée, car un jour, le malheur frappa. Son oncle, emprisonné pour viol, avait été retrouvé mort dans sa cellule. Tous clamaient que c’était Kira qui avait frappé, même si le justicier était supposé être mort! Après tout, comment aurait-on pu accéder aussi facilement à une telle cellule et commettre un meurtre, au nez et à la barbe des gardiens de la prison? Seul Kira possédait de tels moyens. Les parents de la jeune fille avaient eu une certaine tristesse à cette nouvelle, surtout son père, car son frère, malgré ses crimes horribles, restait un membre de la famille. Rina, quant à elle, ne s’était jamais vraiment remise du terrible choc qu’elle avait eu en voyant le corps mutilé de son oncle, à la morgue, lorsque ses parents étaient allés l’identifier. Pourquoi donc l’avaient-ils amenés là-bas? Peut-être voulaient-ils lui montrer ce qui lui arriverait si elle avait le malheur de commettre des crimes horribles et sans doute ignoraient-ils eux-même la gravité des dégâts causés au corps de ce membre de la famille. Elle-même ne le sut jamais, après tout elle n’avait jamais vraiment rencontré cet oncle, sauf lorsqu’elle était très jeune et qu’il lui avait offert son cher toutou, mais elle avait eu très peur, elle qui n’avait jamais vu telle horreur de sa vie. Son meurtrier, quel qu’il soit, avait fait preuve d’une cruauté qu’on pouvait presque qualifier de bestiale : on lui avait arraché les parties génitales et on avait écrit un message à même sa peau, sur son corps, un message qui résumait en quelques mots à quel point cet homme était un salaud d’avoir souillé ainsi des enfants innocents et qu’il méritait de pourrir en enfer. Évidemment, les mots utilisés proféraient d’autres nombreuses injures, mais Rina ne les avaient pas vus. Elle avait fermé les yeux le plus fortement qu’elle avait pu dès qu’elle avait vu cette horreur et elle avait pleuré silencieusement, ce qui n’avait pas empêché l’image de s’imprégner dans sa conscience. Elle fit des cauchemars à ce propos bien longtemps, le corps mutilé de son oncle la hantant dans ses songes. Elle n’en parla néanmoins à personne. Ses parents lui répétaient constamment que Kira était mort et ne pouvait donc pas les atteindre, mais ils préféraient rester au Canada, même si son père était désormais au chômage, de peur que certaines personnes s’en prendraient à eux, les harcelant de rendre justice à ces gens qui avaient perdu leur enfance à cause de cette ordure, ce criminel qui avait autrefois fait partie de leur famille. Rina se pensait alors condamnée à rester dans ce pays où l’hiver était si long et si glacial, rappelant à son cœur toutes ces choses qui la peinaient. Néanmoins, par bonheur, ses parents finirent par se rendre compte que peu importe où ils vivraient, cela ne ferait pas une grande différence, il y aurait toujours des gens pour découvrir les squelettes dans le placard de leur famille. Ils finirent donc par se mettre d’accord et achetèrent leurs billets d’avions grâce à l’assurance-chômage que leur père recevait ainsi qu’une partie de leurs économies. Rina était comblée de bonheur, elle pourrait enfin retrouver son ami Setsuko! Malheureusement pour elle, avant leur départ, lorsqu’elle fit part de ses intentions à ses parents, ils étaient tout à fait contre cela. Ils trouvaient que le jeune homme était une bien mauvaise fréquentation pour leur fille, car il avait un caractère assez étrange. Ils interdirent à Rina de le revoir et menacèrent même de rester au Canada à jamais si elle n’acceptait pas de les écouter. Elle ne pouvait rien faire contre leur volonté… du moins pas encore, pas avant d’être majeure. Un jour, par hasard, elle trouva dans une ruelle du quartier japonais où ils s’étaient installés, une Death Note. Du moins, elle pensait que c’était par hasard, mais elle ignorait tout de ce cahier. Qui sait, c’était peut-être un Shinigami qui l’avait déposé là intentionnellement? Elle ne sut jamais ce que c’était réellement, pensant que c’était un carnet banal et finit même par l’oublier. Néanmoins, elle la transporta toujours avec elle, dans un petit sac contenant plusieurs affaires personnelles, sans le savoir puisqu’elle est tout au fond, cachée par toutes les autres affaires. Une fois majeure, elle fit part de ses projets à ses parents : vivre sa propre vie et, surtout, retrouver Setsuko. Car ses sentiments d’amitié, au cours du temps, s’étaient changé en un amour qu’elle n’avait jamais révélé à quiconque. Néanmoins, ce conte de fées qu’elle s’était inventé fut vite brisé par la cruelle réalité. Setsuko n’était plus que l’ombre de celui qu’elle avait connu autrefois, rongé par une folie profonde et épris de justice comme jamais auparavant. Elle avait bien tenté de le ramener à la réalité de nombreuses fois, en vain, avant de comprendre qu’il était déjà trop tard pour lui. Elle réussit tant bien que mal à survivre à ce coup dur, ses blessures finissant par guérir au cours des cinq années suivant cette découverte. Elle réussi à se faire à l’idée que Setsuko n’était pas et n’avait jamais été celui qu’il lui fallait. En fait, elle découvrit qu’elle ressentait surtout de la pitié pour lui. De la pitié pour ce qu’il était devenu. On reconnu très vite en elle des talents innés d’infirmière et on l’engagea à l’hôpital situé non loin du quartier où elle habitait désormais, dans son propre appartement, n’ayant plus de nouvelles de ses parents depuis le jour où elle les a quitté pour entamer sa folle quête d’amour. Néanmoins, malgré ses horaires souvent très chargés d’infirmière, elle rêve toujours de vivre une belle histoire d’amour, romantique comme elle est...
- Sexualité : Hétérosexualité